-
La pointe nord de l'Île de Ré porte la trace de l'Histoire des nombreux échouages dont elle a été la cause et le témoin. Des baleines échouées sur ses côtes, elle porte le nom : Pointe des Baleines. De deux navires échoués sur ses rochers au milieu du 17e siècle est née la résolution d'y construire un phare pour signaler le danger qu'elle représente pour les marins qui s'en approchent d'un peu trop près. A ce phare, on a donné le nom de son Histoire : le Phare des Baleines.
on y monte !
Le phare a été construit, à partir de 1849 sur des plans de l'architecte Léonce Reynaud, pour remplacer l'ancien phare de 29 mètres construit en 1682 sur les directives de Vauban ( voir photo en dessous ) -
La mise en service eut lieu en 1854 . Le phare est haut de 57 mètres et l'accès au sommet se fait par un escalier hélicoïdal de 257 marches
vision de haut vers le bas
Vue du bas vers le haut
Sous la lampe du phare , une pièce avec ce lit armoire pour loger le gardien
Ancien et premier phare des Baleines restauré et transformé en musée
Cette vieille tour construite sur ordre de Vauban, allumée en 1682, est classée monument historique depuis 1904
votre commentaire -
Riche de plusieurs ouvrages fortifiés conçus par Vauban (citadelle, enceinte, corps de garde), la ville est intégrée au réseau des sites majeurs de Vauban et inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco
votre commentaire -
Héron cendré
Facilement identifiable, la Bernache cravant ressemble à une petite oie à dominante sombre. En effet, la tête, le cou, la poitrine, la queue, le bec et les pattes sont noirs tandis que le dessus du corps est gris brun avec des bordures claires. Le dessous du corps et les ailes sont gris brunâtre. Les sus et les sous-caudales sont blanches. Les iris sont brun foncé.
Elle fréquente principalement des vasières dans des abris naturels, le plus souvent en bandes qui peuvent atteindre plusieurs centaines d'individus. Cinq sites d'observation privilégiés de la Bernache cravant sont répertoriés en France, dans le Finistère : l'anse de Penfoulic au Cap-Coz à Fouesnant, l'anse de Goulven ; et en hiver sur les Côtes-d'Armor : à Saint-Jacut-de-la-Mer, à l'embouchure du Trieux mais aussi à Kerpalud, à côté du port de Paimpol, ou en Baie de Saint-Brieuc où elles hivernent. Elles hivernent également de novembre à mars en colonies très importantes tout autour de l'Île de Ré en Charente-Maritime et sur le Bassin d'Arcachon, fouillant l'estran à marée basse pour se gaver d'ulves (algue verte communément appelée "laitue de mer") et se regroupant en reposoir de haute mer sur l'eau à marée haute.
votre commentaire -
L'abbaye a eu une histoire plutôt mouvementée, et une fin comparable à bon nombre d'autres établissements religieux dans la région. Elle aurait été fondée dans les années 1150 par un groupe de moines cisterciens, après accord du seigneur local, Elbe de Mauléon.
Les ruines actuelles ne datent cependant que du XIVe siècle. En effet, l'abbaye est détruite une première fois en 1294 par la flotte anglaise, puis reconstruite
votre commentaire -
INFORMATION: Mon actualité ne permet plus d ‘investir autant de temps pour le blog et particulièrement les longues rédactions de commentaires – Aussi mes appariations seront plus éparses , mes commentaires plus courts ( Superbe, magnifique , j'aime la 2 ! …. ) je ne me froisserai pas si vous rentreriez aussi dans cette formulation ( A l’ Américaine – Great Shop , wonderfull, lovely …)
votre commentaire -
Non Non !!!! En ville .....
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires