-
Par Pat Photographies le 20 Avril 2016 à 17:00
Barfleur était, au moyen-âge, un port important dont il est souvent parlé dans les chartes et les chroniques, il est depuis déchu de son ancien état. Le bassin est creusé naturellement au milieu des roches de granite. L'église offre quelques parties de transition.
Certains disent que l'église actuelle fait suite à une ancienne construction du 11e siècle qui aurait souffert du débarquement des Anglais sous la conduite de Edouard III d'Angleterre et qui malgré les restaurations aurait fini par succomber définitivement suites aux guerres de religion.
Il semble encore, qu'une nouvelle église fut mise en chantier sur son emplacement actuel et que sa construction s'échelonna sur environ deux siècles par tranches successives (1630 début des travaux, cloché fini en 1695, atermoiement et reprise des travaux en 1827). l'abbé Anthouard du y laisser sa fortune personnelle en 1827 pour que le bourg de Barfleur ai enfin l'église qu'on lui connait de nos jours.
2 commentaires -
-
-
Par Pat Photographies le 14 Avril 2016 à 21:48
Le phare de Gatteville, ou phare de Gatteville-Barfleur, est situé sur la pointe de Barfleur , dans la Manche. Il signale les forts courants du raz de Barfleur
En 1774, sous Louis XVI, Il décide donc de faire construire un premier phare en granite, de 25 mètres. À son sommet, un feu de bois et de charbon brûlait continuellement. Le charbon était approvisionné à dos d'homme et laissait peu de repos aux gardiens. En 1780 le feu à charbon fut remplacé par un système de réverbères constitué de 16 lampes à huile dans une lanterne vitrée.
L'ancien phare devient sémaphore
Ce phare étant trop petit pour recevoir les lentilles modernes, et trop faible pour pouvoir être exhaussé de 32 mètres, on décide d'ériger une nouvelle tour en 1825. L'architecte Charles-Félix Morice de la Rue, sous le règne de Charles X, qui dessinera ensuite le phare de la Hague, conçoit les plans du plus haut phare de l'époque (dépassé depuis par le phare de l'Île Vierge). La pose de la pierre centrale a lieu le 14 juin 1828 et les travaux s'étaleront jusqu'en 1835. C'est en effet le 1er avril 1835 qu'il fut allumé pour la première fois. Electrification en 1893
365 marches -
Hauteur 74,85 m le deuxième phare le plus haut d'Europe
2 éclats par 10 secondes
votre commentaire -
Par Pat Photographies le 22 Janvier 2016 à 05:00
Une centaine de cloches monumentales voient le jour chaque année perpétuant ainsi le savoir-faire et les méthodes des compagnons d’autrefois.
Elle associe le meilleur de la tradition au meilleur de la technologie. La fonderie produit des cloches d’église, des carillons, des bronzes d’Art et de décoration (statues d’artistes et bas-reliefs). Elle s’occupe également de l’installation et de la maintenance des installations électriques et électroniques rattachées à l’Art Campanaire.
Fosse Diderot pour les grosses pièces
Le 31 janvier 2013, huit nouvelles cloches, produites à la fonderie, arrivent à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Elles ont pris place dans la tour nord. La plus grosse baptisée Gabriel pèse 4 tonnes et donnera un la#.
58 commentaires -
Par Pat Photographies le 21 Janvier 2016 à 05:00
La société Cornille-Havard est une fonderie de cloches située à Villedieu-les-Poêles (Manche).
À partir d'un atelier construit en 1865, au moment de la mise en service de la ligne de chemin de fer Paris - Granville, et entièrement conçu par Adolphe Havard, ingénieur polytechnicien, l'entreprise est l'héritière d'une tradition datant de la fin du Moyen Âge.
La fonderie n'a que peu évolué depuis sa construction. Le grand four réverbère à double voûte, de 1865, chauffé au bois et au charbon, sert aujourd'hui pour la coulée des pièces de grande taille. Un autre four plus récent, datant des années 1950, sert pour les cloches plus petites.
54 commentaires -
Par Pat Photographies le 1 Juin 2015 à 05:00
Cabourg est une station balnéaire populaire réputée pour le sable fin de ses 4 km de plage et l'atmosphère Belle-Epoque rendue célèbre par un certain
Marcel Proust. Les villas de la haute-bourgeoisie et de l'aristocratie parisienne du début de XXe siècle nourrissent le charme de la petite ville qui s'organise autour du Casino et de l'incontournable Grand Hôtel avec ses baies vitrées que Proust décrit à merveille dans
A la recherche du temps perdu. Malgré la récession de l'entre-deux-guerres, les plus grands artistes continuèrent à venir se produire à Cabourg. En 1956, Bruno Coquatrix, directeur de l'Olympia, le célèbre music-hall parisien, prend la direction du Casino de Cabourg. Piaf, Bécaud, Aznavour... tous ont écrit l'histoire de la station.A Bientôt pour de nouvelles aventures Normandes !!
60 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique