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Par Pat Photographies le 23 Juin 2015 à 05:00
La Ville de Bruxelles a entrepris en 1993 de peindre des murs en hommage aux héros de bandes dessinées ( Hergé, Goscinny Uderzo, Morris, Geluk, Roba Etc, Etc......). Un parcours BD permet de passer d'une fresque murale à l'autre dans le Pentagone et à Laeken. Une occasion de découvrir ces dessinateurs de BD et leurs personnages.
D'autres jeunes talents s'improvisent sur les portes de garage, mais aussi sur les devantures de magasin
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Par Pat Photographies le 22 Juin 2015 à 05:00
Tonnerre de Brest, mais que se passe t il ? Tintin Venez voir !
Compagnie Royale des Volontaires Réunis de la Révolution Brabançonne
Ici , en costume Bolivien
Il est de tradition d'offrir au Manneken-pis des vêtements à des occasions spéciales notamment pour honorer une profession. La garde-robe actuelle comprend 883 costumes qui sont pour la plupart conservés au Musée de la ville de Bruxelles, situé dans la Maison du Roi sur la Grand-Place.
Manneken-pis est revêtu d'un de ses costumes 36 fois par an, à dates fixes : par exemple, il revêt chaque 21 avril le costume de Spirou, chaque 27 avril la tenue de Nelson Mandela et début juillet le maillot jaune du Tour de France.
On trouve trace, dès 1388, de l'ancêtre de la statue actuelle : une fontaine située à l'angle des rues de l'Étuve et du Chêne, constituée d'une statuette en pierre dénommée « Petit Julien » (Julianekensborre), un nom qui est encore parfois utilisé pour désigner Manneken-Pis. On ne dispose d'aucune représentation de cette fontaine, mais dès 1452, le nom de Manneken-Pis apparait dans un texte. À cette époque, la fontaine jouait un rôle essentiel dans l’ancienne distribution d’eau potable. La statuette de pierre est remplacée par une statuette en bronze commandée en 1619 à Jérôme Duquesnoy l'Ancien
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Par Pat Photographies le 21 Juin 2015 à 05:00
En plus de son intérêt religieux, historique et architectural, la cathédrale offre une attraction supplémentaire apportée par un couple de faucons pèlerins qui, au moment de la couvaison, vient, d'année en année depuis 2007, installer son nid au dernier étage de la tour gauche. Par les soins de l'Institut royal des sciences naturelles de Belgique, une installation de caméras de video permet à tout le monde de suivre, depuis des écrans installés sur le parvis, la couvaison, l'éclosion des oisillons et la vie de la famille dont le mâle a forcément dû trouver à ravitailler les siens en chassant la faune locale, surtout les oiseaux et, notamment, les pigeons, ce qui fait fuir ceux-ci grâce à quoi les vieilles pierres sont protégées, au moins deux mois par an, de la fiente de pigeons si redoutable pour les monuments. Ces faucons ont ainsi restauré une tradition des cathédrales — à laquelle l'agitation de la vie moderne et ses séquelles polluantes avaient mis fin, croyait-on — et qui fut, pendant des siècles, d'héberger ceux de leur espèce.
La construction de l'édifice actuel débute par le chœur en 1226. La nef et le transept qui datent des XIVe et XVe siècles sont de style gothique brabançon. La façade est surmontée de deux tours et date des années 1470-1485.
Ce n'est qu'en 1962 que Bruxelles, jusque-là dépendante de l'archevêché de Malines où résidait le primat de Belgique, fut associée à ce siège épiscopal sous le titre de diocèse de Malines-Bruxelles. C'est ainsi que la collégiale fut promue au rang de cathédrale.
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Par Pat Photographies le 20 Juin 2015 à 07:38
C'était au temps où Bruxelles rêvait
C'était au temps du cinéma muet
C'était au temps où Bruxelles chantait
C'était au temps où Bruxelles bruxellaitA deux pas de la Grand-Place, la Galerie de la Reine, du Roi et des Princes accueillent de nombreuses boutiques de luxe, d’horlogers, des chocolatiers ainsi que des restaurants en tout genre. Le Cinéma d’Art et Essai, Galeries, ainsi que le Théâtre Royal des Galeries et le Vaudeville y sont également abrités.
La Galerie de la Reine est traversée chaque année par quelque six millions de visiteurs. Touristes, Bruxellois y voient un lieu agréable où se promener et faire du shopping tout au long de l’année.
La verrière permet en effet de protéger les promeneurs quel que soit le climat. Autrefois, l’accès aux galeries était payant: vingt-cinq centimes le jeudi et le dimanche, dix centimes les autres jours de la semaine
Brochettes de Fraises à tremper dans le chocolat tiède ! Bon week end
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Par Pat Photographies le 19 Juin 2015 à 05:00
A 500 m de la grand place, on se trouve transporté dans le monde des affaires, la société dite moderne , où se mélange malheureusement les genres
Aérer les Pentiums !!
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Par Pat Photographies le 18 Juin 2015 à 05:01
La Maison du Roi était à l'origine la halle au pain, nom qu'elle a conservé en néerlandais : Broodhuis. La première construction remonte sans doute au XIIIe siècle. La première mention de son existence date de 1321. Elle faisait partie d'un groupe de trois constructions à destination économique, la halle au pain, la halle aux draps et la halle à la viande, formant un quadrilatère. On ne sait que peu de choses du bâtiment primitif.
C'est maintenant le musée de la Ville consacré à l’histoire de la cité. Son origine, son développement au cours des siècles, la vie de ses habitants sont présentés à travers des retables, des sculptures, des tapisseries, des gravures ou encore des peintures et des maquettes de la Ville. La version originale du plus célèbre des bruxellois, Manneken-Pis et sa garde-robe sont précieusement conservées dans ce grandiose bâtiment néo-gothique.
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Par Pat Photographies le 17 Juin 2015 à 05:01
Vers la Grand Place , perspective sur la maison du Roi
Mondialement renommée pour sa richesse ornementale, elle est bordée par les maisons des corporations, l'hôtel de Ville et la Maison du Roi (Broodhuis en néerlandais). Elle est généralement considérée comme l'une des plus belles places du monde. Elle a été inscrite en 1998 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
Lieu historique, elle a vu se dérouler de nombreux évènements heureux ou tragiques. Entre autres, en 1523, les premiers martyrs protestants, Henri Voes et Jean Van Eschen, y sont brûlés par l'Inquisition. Quarante ans plus tard, les comtes d'Egmont et de Hornes, qui avaient présenté des doléances auprès de Philippe II concernant sa politique aux Pays-Bas, y sont décapités. Cela déclencha le début de la révolte armée contre la domination espagnole, dont Guillaume d'Orange prit la tête.
En août 1695, pendant la guerre de la Ligue d'Augsbourg, la plupart des maisons, dont certaines sont encore construites en bois, sont détruites lors du bombardement de la ville par les troupes françaises commandées par le maréchal de Villeroy. Seules la façade et la tour de l'Hôtel de Ville, qui servait de cible aux artilleurs, et quelques murs en pierre ont résisté aux boulets incendiaires. Les maisons entourant la place furent richement reconstruites en pierre par les différentes corporations. Parmi celles-ci, la maison de la corporation des Brasseurs abrite aujourd'hui le Musée des Brasseurs
l'hôtel de ville
L'hôtel de ville de Bruxelles est un édifice de style gothique et classique , au sud de la place. Il fait face à la Maison du Roi.
Il constitue le seul vestige médiéval de la Grand-Place et est considéré comme un chef-d'œuvre de l'architecture gothique civile et plus particulièrement du gothique brabançon.
Une porte d'entrée et intérieur cour, ci dessous
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