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    La Galerie des glaces

     

     

     

    La Galerie des glaces

     

     

     

    La Galerie des glaces

     

     

     

    La Galerie des glaces

     

     

     

    La Galerie des glaces

     

     

     

    La Galerie des glaces

    La Galerie des glaces

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La Galerie des glaces

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    Les dix-sept fenêtres cintrées donnent naissance à autant d'arcades ornées de miroirs et séparées par des baquettes de cuivre et surmontées alternativement par une tête d'Apollon et de la dépouille du lion de Némée. Les chapiteaux des pilastres de marbre de Rance sur fond de marbre blanc sont ornés d'une fleur de lys et de coqs gaulois. Les trophées en bronze doré, qui ornent les trumeaux en marbre vert de Campan, ont été ciselés par l'orfèvre Ladoireau. Les huit bustes d'empereurs romains, en marbre et porphyre, accompagnaient huit statues, dont sept antiques, représentants Bacchus, Vénus, la Pudicité, Hermès, la Vénus de Troas, Uranie et Némésis. La dernière, une Diane sculptée par Frémin pour les jardins de Marly, occupait l'emplacement de la célèbre Diane de Versailles aujourd'hui exposée au Louvre.

    Le Brun peindra à la voûte, ornée d'allégories, de trompe-l'oeil et de perspectives feintes, des épisodes glorieux de la Guerre de Hollande (1672-1678), des médaillons peints ou feints de bronze sur fond d'or rappelant les victoires de la Guerre de Dévolution (1667-1668), ainsi que des représentations des grandes réformes entreprises au début du règne de Louis XIV. Cette gigantesque composition retrace les vingt premières années du règne du Roi-Soleil, qui gouvernera soixante-douze ans.

    La Galerie des glaces

    La Grande Galerie servait quotidiennement de lieu de passage, d’attente et de rencontres, fréquenté par les courtisans et le public des visiteurs. Elle ne fut le cadre de cérémonies qu’exceptionnellement, lorsque les souverains voulurent donner le plus grand éclat à des réceptions diplomatiques ou à des divertissements (bals ou jeux) offerts à l’occasion de mariages princiers. Le trône était alors installé sur une estrade tout au bout de la galerie, du côté du salon de la Paix dont l’arcade était fermée. Cependant, la mise en scène du pouvoir atteint rarement un tel degré d’ostentation : ainsi le doge de Gênes en 1685 et les ambassadeurs de Siam (1686), de Perse (1715), de l’Empire ottoman (1742) eurent-ils à traverser toute la galerie, sous les yeux de la Cour massée de chaque côté sur des gradins ! Il y eut aussi les fêtes du mariage du duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV en 1697, du fils de Louis XV en 1745 et enfin le bal masqué pour le mariage de Marie-Antoinette et du Dauphin, futur Louis XVI, en mai 1770… C’est également ici que fut signé le 28 juin 1919 le traité de Versailles qui mettait fin à la Première Guerre mondiale. Depuis, les présidents de la République continuent à y recevoir les hôtes officiels de la France.

     

    La Galerie des glaces

     

     

     

    La Galerie des glaces

     

     

     

    La Galerie des glaces

     

     

    La Galerie des glaces

    Effet optique - Photo prise avec la partie en biseau du verre de la fénêtre

     


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    Les appartements de la reine

     

    Les appartements de la reine

    La salle des Gardes

    Au débouché de l’escalier de la Reine, dit aussi « escalier de Marbre », on pénétrait dans le Grand Appartement de la Reine par cette salle des Gardes où, jour et nuit, douze gardes du corps accomplissaient leur service auprès de la souveraine. À Versailles, seuls le roi, la reine et le dauphin pouvaient ainsi disposer d’une garde personnelle composée de soldats appartenant à ces unités d’élite qu’étaient les quatre compagnies des Gardes du corps du Roi. La grande salle suivante, dite aujourd’hui « salle du Sacre », leur était d’ailleurs affectée. Elle servait de corps de garde.

    La salle des Gardes de la Reine est la seule pièce de l’enfilade dont le décor du XVIIe siècle a été conservé : la reine n’ayant pas l’occasion de s’y tenir, il ne parut jamais nécessaire de le moderniser. C’est pourquoi on y voit encore les lambris de marbre caractéristiques du premier état des Grands Appartements ainsi que des peintures, placées là en 1680, qui proviennent de l’ancien salon de Jupiter, devenu salon de la Guerre.

    « Le service des Gardes du corps, au Château, consistait à monter la garde aux portes des appartements, à prendre les armes quand les princes passaient, à garnir la chapelle pendant la messe et à escorter les dîners de la famille royale. Ils devaient connaître les ducs et pairs, car, à leur passage, la sentinelle devait porter les armes et frapper deux coups du talon droit. De même, cette sentinelle devait ouvrir la porte et ne pas la laisser ouvrir ; mais l’on sent que le garde était lui-même très-aise qu’on l’exemptât de toutes ces fonctions ».

    C’est par ici que le 6 octobre 1789, à l’aube, les assaillants venus réclamer du pain au roi, tentèrent d’atteindre les appartements de la Reine, avant qu’une femme de chambre prévenue par un garde du corps ne verrouille la porte du Grand Couvert et conseille à la reine de se sauver. Rebroussant chemin, les assaillants tentèrent alors de pénétrer par la salle des Gardes du Roi.

     

     

    Les appartements de la reine

    Les appartements de la reine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les appartements de la reine

    L’antichambre du Grand Couvert

    C’est dans l’antichambre de la reine qu’avaient lieu les repas publics dont le fastueux rituel attirait beaucoup de monde. Seuls les membres de la famille royale pouvaient prendre place à table et, devant eux, assises, les duchesses, princesses ou titulaires de grandes charges ayant le privilège du tabouret, puis, debout, les autres dames et les personnes qui, de par leur rang ou avec l’autorisation des huissiers, avaient pu entrer. Louis XIV s’astreignait à cette représentation presque tous les soirs ; Louis XV lui préféra bien souvent les soupers intimes ; quant à Louis XVI et à Marie-Antoinette, un témoignage du temps nous rapporte que « la Reine se mettait à la gauche du Roi. Ils tournaient le dos à la cheminée. […] Le Roi mangeait de bon appétit, mais la Reine n’ôtait pas ses gants et ne déployait pas sa serviette, en quoi elle avait grand tort ». Contre cet ennui, Marie-Antoinette demanda qu’il y ait toujours musique au Grand Couvert et à cette fin, une tribune pour les musiciens fut aménagée dans la pièce

     

    Les appartements de la reine

     

     

     

    Les appartements de la reine

    Le salon des Nobles

    Antichambre sous la reine Marie-Thérèse, c’est dans cette salle que Marie Leszczinska accordait ses audiences solennelles, assise sous un dais. Elle y tenait également son cercle, comme on appelait ce temps de conversation réglé avec les dames de la Cour. Marie-Antoinette fit refaire entièrement la décoration, ne conservant que les peintures du plafond, et pour elle, on tendit les murs de damas vert pomme bordé d’un large galon d’or. Un nouveau mobilier fut livré, à la fois extrêmement moderne et raffiné. En effet, pour les majestueuses commodes et encoignures destinées à cette pièce, Riesener, l’ébéniste préféré de la reine, sacrifia à la dernière mode anglaise, abandonnant ses marqueteries fleuries habituelles pour de grands à-plats d’acajou, tandis que les bronzes dorés ainsi que les tablettes de marbre bleu turquin de ce majestueux ensemble étaient assortis à ceux de la cheminée, elle aussi nouvelle.

     

     

    Les appartements de la reine

    La chambre de la Reine

    La chambre est la pièce principale de l’appartement, celle où la reine se tenait le plus souvent. Elle y dormait, souvent rejointe par le roi. Le matin, elle y recevait durant et après sa Toilette qui constituait un moment de cour aussi réglementé par l’étiquette que le Lever du roi. C’est là encore qu’avaient lieu les accouchements en public : dix-neuf « Enfants de France » y sont nés. Le décor conserve le souvenir des trois reines qui ont occupé la pièce : le compartimentage du plafond remonte à la reine Marie-Thérèse, mais les peintures en grisaille par Boucher ont été réalisées pour Marie Leszczinska, ainsi d’ailleurs que les boiseries. Tous ces éléments ont été conservés du temps de Marie-Antoinette pour laquelle seuls le mobilier et la cheminée ont été livrés de neuf.

    Lors de l’invasion du château par les émeutiers le 6 octobre 1789, Marie-Antoinette parvint à leur échapper par la petite porte gauche de l’alcôve ouvrant sur un corridor donnant accès aux cabinets intérieurs de la Reine, une douzaine de petites pièces réservées à sa vie privée et à son service. 


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    Par l'escalier de la reine, entrons au Château

     Aprés Le Petit et Grand Trianon , la traversée des jardins , entrons au chateau par l'escalier de la Reine

     

     Par l'escalier de la reine, entrons au Château

     Construit en 1680, l'escalier de la Reine est entièrement décoré de marbre, à l'exception des degrés en pierre. Il est orné d'une perspective de palais avec des personnages vêtus à l'Orientale par Philippe Meusnier et Jean-Baptiste Blain de Fontenay

     

     Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

     

     

     Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

     

     Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

     La sculpture en plomb doré placée sur le palier du premier étage, exécutée par Massou, symbolise le mariage de Louis XIV et de Marie-Thérèse d' Autriche. L'écusson supporté par des Amours, sur lequel figuraient autrefois les chiffres entrelacés du Roi et de la Reine, est surmonté par deux colombes et des flambeaux de l'Hymen

     

     

    Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

    Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

     

     

     

    Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

     Présence également de peintures , statue de Napoléon Bonaparte

     

    Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

     

     

    Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

    L'escalier des Princes

    Cet escalier, qui a su préserver l'essentiel de sa décoration du XVIIème siècle, relie le rez-de-chaussée et le premier étage de l'aile du Midi, ou aile des Princes, dans laquelle logeaient certains membres de la famille royale, des enfants de France et princes du sang. Louis-Philippe fera remplacer la voûte d'origine par un plafond à caissons 

     

    Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

     

     

    Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

    Salle des portraits

     

    Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

    C’est dans l’ancienne grande salle des Gardes, vierge de tout décor d’Ancien Régime, et alors la plus vaste salle du palais (en dehors de la galerie des Glaces), que Louis-Philippe fit installer les plus grands tableaux de son musée d’Histoire de France : deux œuvres de David 

    Celle ci : Le serment fait à l’Empereur par l’armée après la distribution des aigles, le 5 décembre 1804

     

     

    Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

    Ainsi que Le Sacre de Napoléon (titre complet Sacre de l'empereur Napoléon et couronnement de l'impératrice Joséphine, à Notre-Dame de Paris, le 2 décembre 1804 ) - tableau peint entre 1805 et 1807 par Jacques-Louis David, peintre officiel de Napoléon Ier, qui représente une des cérémonies du couronnement. Imposante par ses dimensions, presque dix mètres sur plus de six, la toile de David est conservée au Louvre. Une copie commencée en 1808 et terminée lors de l'exil du peintre à Bruxelles est accrochée au musée du château de Versailles dans la salle du Sacre. Le couronnement et le sacre ont eu lieu à Notre-Dame de Paris

      Au moment où le pape allait prendre la couronne, dite de Charlemagne, sur l'autel, Napoléon la saisit et se couronna lui même. Joséphine reçut de lui la couronne et fut sacrée solennellement impératrice des Français, alors que le pape Pie VII, assis à droite, tend la main en signe de bénédiction. Napoléon prend ici ses distances avec le protocole monarchique .

    Par l'escalier de la reine, entrons au Château de Versailles

    Au plafond fut installée une allégorie du Dix-huit Brumaire de Callet, commandée sous le Consulat pour les Tuileries 


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    Origine Kenya

     

     


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  • Kallima inachus - Papillon feuile

     

     

    Kallima inachus - Papillon feuile

    Avec la mosaique zébrée  

     

     

    Kallima inachus - Papillon feuile

    Kallima inachus est un spectaculaire papillon aux couleurs vives sur le dessus des ailes,  imitant une feuille au verso des ailes. Il vole dans la région de l'Indo-Chine

     


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    dernier panorama

    Panorama au O1/08/2013

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    1800 m  - La station La mongie

     

     

     

     


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    L'observatoire du CNRS

     2 876 mètres, vous y êtes aprés 15 mn depuis la Mongie

    Record de Froid : le 10 février 1956  avec - 32 ° c

    Record de chaleur ! le 18 Aout 1943 avec 20 °c

    Il y neige environ 116 jours par an

    Le vent a atteind 288 km/h le 10 juillet 1984

     

     

    L'observatoire du CNRS

     

     

     

    L'observatoire du CNRS

     

     

     

    L'observatoire du CNRS

     Comètes, météores, galaxie, voie lactée... Et si les étoiles avaient des secrets à nous livrer ? Guetteurs d’étoiles depuis plus d’un siècle, les chercheurs et les techniciens de l’Observatoire sont à l’écoute des espaces célestes pour mieux comprendre notre planète.
    Ici, de l’espace muséographique le plus haut d’Europe, la grande aventure scientifique du Pic passe par l’étude de l’atmosphère et notamment de l’évolution de la couche d’ozone, des prévisions météorologiques, de l’électricité atmosphérique ou encore de la sismicité des Pyrénées

     

     

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    L'observatoire du CNRS - La nuit des étoiles

     

     

    L'observatoire du CNRS - La nuit des étoiles

    L'observatoire du CNRS - La nuit des étoiles

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Partout en France , la nuit des Etoiles , les 9 /10 /11 Aout 2013  - Le Site

     

     

    L'observatoire du CNRS - La nuit des étoiles

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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