-
Par Pat Photographies le 6 Novembre 2015 à 05:00
Génération Incurvée
L'œil du peintre est un faux miroir: il modifie ce qu'il capte en restituant aux apparences le mystère du monde.
Les miroirs feraient bien de réfléchir un peu avant de renvoyer les images.
On ne peut rien attendre des hommes politiques pour lesquels le monde est un miroir reflétant seulement leurs désirs, leurs rêves et leurs craintes.
Manifestation des arbres devant le CAC 40
Quand l'humain devient transparent dans ce monde !!!
Elle regarde la ville, cette superposition de mouvements. Ce territoire infini d'intersections, où l'on ne se rencontre pas.
64 commentaires -
-
Par Pat Photographies le 10 Mars 2015 à 05:00
Voir sans être vu. Rester dans l’ombre. Résister au soleil. Dompter l’air et la lumière. Semblable catalogue évoque plus le vade-mecum d’un derviche que le savoir-faire de l’ébéniste. La façade de l’Institut est faite de métal et ses orifices sont autant de diaphragmes, inspirés par la technique photographique, quintessence de regard mécanique, auxquels commande l’informatique
Les sciences de l’Occident en Orient sont nées. On pourrait, de la sorte, déchiffrer un autre des messages explicites que délivrent les créateurs du bâtiment de l’Institut du monde arabe. Des formes simples, partout, viennent à sous-tendre l’espace et à s’y inscrire : carrés, cercles, hexagones, se déploient, se superposent, s’interpénètrent avec une exactitude toute mathématique. Elles renvoient à la fascination des Arabes pour la géométrie, à leur invention de l’algèbre, de la trigonométrie. Prenant parfois l’apparence des calligraphies et des arabesques qu’affectionne le décor islamique traditionnel, cet ensemble de signes évoque aussi la carte d’un ciel que les Arabes ont aidé l’Occident à comprendre.
64 commentaires -
Par Pat Photographies le 9 Mars 2015 à 05:00
Créé par un collectif d’architectes (Jean Nouvel, Gilbert Lezenes, Pierre Soria et Architecture Studio), l’Institut du monde arabe est un lieu unique par la modernité de son architecture. Le bâtiment constitue une synthèse allégorique entre conceptions architecturales d’Orient et d’Occident.
En effet, au-delà de l’apparence résolument moderniste de la construction de verre et d’aluminium, le visiteur découvre que toute une série d’éléments architecturaux issus de la tradition orientale font l’objet d’une réinterprétation : moucharabiehs de la façade, ryad (cour intérieure) et ziggourat de la tour des livres.
La façade sud de l’IMA est composée de 240 moucharabiehs dont le mécanisme est actionné électroniquement. L’ouverture des diaphragmes est réajustée toutes les heures pour s’adapter à la luminosité extérieure et créer un jeu de lumière à l’intérieur du bâtiment.
64 commentaires -
Par Pat Photographies le 22 Janvier 2015 à 05:00
Construction Londonienne dans la City
58 commentaires -
-
Par Pat Photographies le 10 Février 2014 à 06:00
51 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique