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    Transhumance

     

     

     

     

     

     

    Beeeeh !!!!!

     

     

     


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    Highland Cattle

     

     

     

     

    Highland Cattle

     Elle est originaire du nord de l'Écosse (région des Highlands que l'on peut traduire par « hautes terres »).

    C'est une race classée aujourd'hui parmi les races bouchères, mais des textes évoquent des fromages confectionnés l'été avec un lait très riche en matière grasse. Sa saveur devait aussi beaucoup aux herbages des "hautes terres". La highland est très appréciée pour sa viande persillée, dont la saveur est remarquable et qui est riche en protéines avec un très faible taux de cholestérol. Elle amasse du gras sous la peau, moyen de lutte contre le froid, ce qui rend le dégraissage de la viande aisé.

     

    Elle se caractérise par une robe rouge clair à foncé (60 %), ou noire (30 %), ou grise (5 %), ou blanche (5 %), aux poils longs et par une paire de longues cornes dressées en l'air.

    Cette race rustique peut pâturer des zones de landes ou marécageuses mieux que tout autre race, et elle est parfois utilisée pour entretenir ce type de paysage . On la trouve ici en Baie de Somme non loin du Crotoy

     

    Highland Cattle

     

     

     

     

    Highland Cattle

     

     

     

     

    Highland Cattle

     

     

     

     

    Highland Cattle

     

     

     

     

    Highland Cattle

     

     

     

     

    Highland Cattle

     

     

     

     


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    Le Henson Le Henson

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Cheval de loisirs polyvalent aux qualités exceptionnelles en équitation d’extérieur, à l'attelage et aux jeux équestres.

    Né en Picardie. Berceau de race : Baie de Somme – Marquenterre.

     Issue de croisements entre des chevaux de sang chaud de race Selle français et Anglo-arabe, entre autres, et des chevaux Fjord à sang froid d'origine norvégienne, elle est créée afin d'obtenir une monture adaptée au tourisme équestre, alors en plein essor dans la baie de Somme.

    Le Henson possède un caractère confiant, sociable et amical, il se laisse d'ailleurs facilement approcher au bord des pâtures. Il est calme, maniable, polyvalent et endurant Peu exigeant au niveau des soins et de l'alimentation, il peut vivre à l'extérieur toute l'année grâce à sa rusticité et sa résistance. Il est le plus souvent élevé de manière extensive et naturelle en extérieur, et se reproduit en liberté, ce qui lui confère équilibre et rusticité dès la naissance. Les nombreux marécages et autres zones humides de la baie de Somme forment l'espace principal où il est traditionnellement élevé et vit une partie de l'année, supportant la pauvreté des pâtures et le sol sableux ou marécageux sans problèmes. Cette résistance provient de ses ancêtres Fjords, habitués aux conditions extrêmes. La présence des chevaux sur le site du Marquenterre attire le héron garde-bœufs

     

     

    Le Henson

     

     

     

    Le Henson

     

     

     

    Le Henson

     

     

     

    Le Henson

     

     

     

    Le Henson

     

     

     

    Le Henson

     

     

     

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    Le Henson

     

     

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  • Ancre

     

     

     

     

    Ancre

     

     

     

     

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    Ancre

     


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    Le toueur de Riqueval

    La ventilation du souterrain de Riqueval ne permettant pas d'évacuer les gaz d'échappement des péniches, celles-ci doivent obligatoirement être remorquées par un engin appelé « toueur », bateau-treuil qui tracte une rame de péniches (32 en moyenne) dans le souterrain.

    À l'origine, le premier toueur, nommé Rougaillou, était mû par des chevaux disposés en manège sur son pont, ce manège actionnant un treuil. Un second toueur lui a succédé, mû par la vapeur. Finalement c'est l’électricité qui, à partir de 1906, a réglé le problème de la fumée dans la voûte. Sa vitesse horaire moyenne est de 2,5 km/h. Le bateau se hale sur une chaîne de 8 km de long qui repose au fond du canal, fixée à chaque extrémité du souterrain. La masse totale de la chaîne atteint 96 tonnes

     

    Le toueur de Riqueval

     

     

     

    Le toueur de Riqueval

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    Le toueur de Riqueval

     

     

     

     

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  • Le souterrain de Riqueval

     

    Le souterrain de Riqueval

     

    Le souterrain de Riqueval

     

     

    Le souterrain de Riqueval

    Le souterrain de Riqueval

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le souterrain de Riqueval

     

     

    Le souterrain de Riqueval

     

     

     

    Le souterrain de Riqueval

    600 mm, le souterrain fait plus de 5 km

     

    Le souterrain de Riqueval

    Le souterrain de Riqueval

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    En modifiant par des filtres de couleur

    Le souterrain de Riqueval

    Le souterrain de Riqueval

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le souterrain de Riqueval

    Le souterrain de Riqueval

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le souterrain de Riqueval

    Un ingénieur militaire, nommé Devic (ou de Vicq), proposa plus tard de réunir la Somme à l'Escaut en perçant un canal entre Saint-Quentin et Cambrai.

    La difficulté était de traverser le plateau crayeux qui sépare les vallées de la Somme, de l'Escaut et de la Scarpe et d'alimenter le canal au bief de partage, c'est-à-dire à la ligne de partage des eaux. Ce point haut du canal (84 mètres) se situe sur la section du canal comprise entre Lesdins et Vendhuile.

    Devic proposa de traverser le plateau par un canal souterrain, dans l'espoir que le canal serait alimenté naturellement par les eaux d'infiltration et les eaux de la nappe phréatique. L'idée, qui parut trop ambitieuse à l'époque, fut abandonnée. Elle fut reprise en 1766 par l'ingénieur Pierre-Joseph Laurent, qui modifia les plans de Devic et dirigea les travaux. Ceux-ci furent cependant arrêtés quelques années plus tard, en 1775, en raison de la mort de Laurent le 12 octobre 1773 et du manque de fonds dû à la guerre d'Amérique. Cette première galerie fut entièrement abandonnée.

    En 1802 Napoléon donna l'ordre de reprendre les travaux selon les plans de Devic. Ils furent terminés en 1809, au prix du percement de deux souterrains, le « petit souterrain » long de 1 098 mètres entre Lesdins et Lehaucourt et le « grand souterrain » ou « souterrain de Riqueval », long de 5670 mètres, entre Bellenglise et Vendhuile. Ce sont deux entrepreneurs originaires de la vallée du Giffre, Claude-François Perret et Claude-François Deplace, qui furent chargés du gros-œuvre et se retrouvèrent à la tête de plusieurs milliers d'hommes. Ce chantier devait durer presque huit ans. Le canal fut inauguré en grande pompe le 28 avril 1810 par l'empereur Napoléon Ier et l'impératrice Marie-Louise.

     

     


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