•  Deuxième marais de France après la Camargue, la Grande Brière est classée Parc naturel depuis 1970 afin de préserver le patrimoine de la région. Derrière des digues formées par les alluvions de la Loire, une immense tourbière de 40 000 hectares s’est développée, laissant émerger 7 îles en son cœur

     

     Dans ce paysage surnommé « Pays noir » à cause de la tourbe, une faune et une flore spécifiques se sont épanouies. Les hommes y trouvent les matériaux nécessaires à leur habitat traditionnel.

     

     Entre terre et eau, le chaland ou blin (barque à fond plat) vous entraîne dans un univers particulier où les routes sont des canaux et les horizons des plaines inondées, argentées par le soleil.

     

    Parc Naturel de la Briére

     

    Parc Naturel de la Briére

    Le marais est présent jusque dans les chaumières qui se réunissent sur les îles. Les roseaux couvrent la toiture. Les murs épais associent pierre et terre. La tourbe peut être utilisée comme combustible. Les oies et canards élevés dans les prairies voisines s’inscrivent au menu 

    Parc Naturel de la Briére

     

    Parc Naturel de la Briére

     

     

    Parc Naturel de la Briére

     

     

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    Pont Transbordeur de Rochefort

     

     

    Pont Transbordeur de Rochefort

    Bientôt 116 ans que le dernier pont transbordeur de France enjambe la Charente et relie Echillais à Rochefort

    Il ne reste aujourd’hui que sept autres ponts transbordeurs dans le monde, en Allemagne (Osten et Rendsburg), au Royaume-Uni (Middlesbrough, Newport et Warrington), en Argentine (Buenos Aires) et en Espagne, à Bilbao, ce dernier pont a été classé en 2006 au titre de Patrimoine Mondial de l’UNESCO.

     

     

    Pont Transbordeur de Rochefort

     

     

     

    Pont Transbordeur de Rochefort

     

     

     

     

    Pont Transbordeur de Rochefort

    Le Pont Transbordeur est un ingénieux système mis au point par Ferdinand Arnodin : deux pylônes métalliques supportent un tablier sur lequel glisse un chariot grâce à un système de rails. Une nacelle y est suspendue, permettant de relier les deux rives sans gêner la circulation maritime. Dès 1900, cette prouesse technique succède au bac qui existait jusqu’alors.

     

     


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    Corderie Royale de Rochefort

     

     

     

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    Corderie Royale de Rochefort

     

     

     

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    Corderie Royale de Rochefort

     

     

     

    Corderie Royale de Rochefort

     

     

     

     

    Corderie Royale de Rochefort

     

     

     

    Corderie Royale de Rochefort

     

     

     

     

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    Corderie Royale de Rochefort

     

     

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    Angoulins sur mer

     

     

     

     

    Angoulins sur mer

     


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  • Observations dans la nature de l'ile

     

     

     

    Observations dans la nature de l'ile

    L' Ibis Sacré Il a été également introduit involontairement en France depuis le début des années 1990 à partir du parc de Branféré. Des populations  (issues d'échappés de captivité) de cet oiseau sont présentes en Bretagne, notamment dans le golfe du Morbihan, en Ille-et-Vilaine, dans l'estuaire de la Loire et les marais de Guérande, mais aussi sur l'île de Ré. Des oiseaux sont également observés dans l'estuaire de la Gironde et aussi dans l'Aude.

     

    Observations dans la nature de l'ile

     

     

     

    Observations dans la nature de l'ile

    Héron cendré

     

     

    Observations dans la nature de l'ile

     

     

     

    Observations dans la nature de l'ile

    Exception parmi les bovidés, la Highland possède un double pelage. Le pelage du dessus est fait de poils longs — jusqu’à 35 centimètres — et hirsutes. Laineux et  bien lubrifié, il est imperméable à la pluie et à la neige. Quant au sous-poil, doux et duveteux, il retient la chaleur.

    “ C’est très difficile de les shampouiner, parce que c’est presque impossible d’imprégner d’eau leur poil ! ”

    Grâce à cette pelisse douillette, ce brave animal prospère dans les montagnes battues par les pluies et les vents glacials, où aucune autre race bovine ne peut vivre.

    L’été est-il trop chaud et trop sec ? Qu’à cela ne tienne, la Highland perd son lourd poil de dessus ! Au retour du froid et de l’humidité, il repoussera.

    Le drôle de toupet qui lui tombe sur le front lui est très précieux. En hiver, il lui sert de visière contre les agressions climatiques — vent, pluie et neige. En été, il la protège des insectes ailés porteurs de maladies infectieuses.

     

     


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