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Nous sommes ici à 3000 KM de l'Antartique
Le cap de Bonne-Espérance n'est pas le point le plus au sud de l'Afrique ni le point de division entre les océans Atlantique et Indien, fonctions exercées par le cap des Aiguilles, situé à 149 km à l'est-sud-est, à l'ouest de Struisbaai - Cependant, lorsque l'on suit la côte depuis l'équateur, le cap de Bonne-Espérance marque le point psychologiquement important où on commence à voyager plus vers l'est que vers le sud. Ainsi, contourner le cap en 1488, était un grand objectif dans les efforts des Portugais pour établir des relations commerciales directes avec l'Extrême-Orient.
Le terme « cap de Bonne-Espérance » fut aussi utilisé par la première colonie du Cap établie en 1652 dans les environs de la péninsule de Cap.
Un océan Atlantique déchainé ! Un vent avec des pointes de 80 km
La voiture tangue et il faut retenir grandement les portières
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Pour les botanistes et les amoureux des fleurs, le Cap de Bonne-Espérance est un terrain d'exploration exceptionnel. Près de 70 % des 9 000 plantes recensées sont endémiques à la région, voire au promontoire lui-même. Les botanistes considèrent cette zone comme la plus petite division végétale du monde. La réserve est un écosystème à part entière, un royaume floral unique qui abrite une végétation introuvable ailleurs. L’Unesco a d’ailleurs inscrit le site sur la liste du patrimoine naturel mondial.
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Au repos, l'autruche - Plus à l'aise ici devant se spectacle grandiose que dans les fermes d'élevages ou elles sont destinées à des courses de compétition, aux abattoirs pour terminer en rôtis
l 'Ibis Sacré
Bubale roux
Un superbe oiseau à longues plumes
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La réserve naturelle du Parc National de Bonne-Espérance ( zone en vert en bas de la carte), qui s'étend le long de la péninsule, est l'occasion d'admirer une faune et une flore particulièrement généreuse. Oiseaux, zèbres, tortues, antilopes sont au rendez-vous ainsi que les babouins. Ces derniers, habitués à la présence humaine, n'hésitent pas à venir à la rencontre des voyageurs pour quémander - et parfois chaparder - un peu de nourriture. Sur les côtes, il est possible d'observer des phoques, des manchots, des dauphins et même des baleines.
La côte - False Bay
Surnom des montagnes , les 3 ailerons de requin
Une vie en pleine autarcie ( réserve d 'eau douce, panneaux solaires) pour quelques gardiens de la réserve
Couché par les vents du Sud
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D'abord baptisée Simon’s Vlek (Baie de Simon), son nom fait référence à Simon van der Stel, gouverneur de la colonie de 1679 à 1697 qui en 1687 désigna le site pour en faire un port. À la suite de nombreux naufrages dans la baie de la montagne de la Table, la compagnie néerlandaise des Indes orientales désigna Simonstown en 1741 comme port principal les mois de mai et d'août pour accoster en Afrique du Sud.
C'est à partir de l'occupation britannique de la colonie en 1806 que le port de Simonstown prit néanmoins non seulement officiellement son nom mais aussi son importance militaire et stratégique. Pendant deux siècles, la ville fut ainsi une importante base navale d'abord de la Royale Navy britannique puis de la marine sud-africaine.
Durant la Seconde Guerre mondiale, la base navale servit de port de refuge pour les navires alliés bien que 125 navires furent coulés au large par les sous-marins allemands et japonais. C'est en 1957 que la base navale fut rétrocédée à la marine sud-africaine dont elle est en 2016 l'unique port militaire.En plus d'être une base navale, Simon's Town est également un petit port de commerce et de villégiature ainsi qu'une station balnéaire et touristique.
La ville présente de nombreuses maisons victoriennes ou de monuments coloniaux comme la maison de l'amirauté (1814) et la chapelle Wesleyan (1828), l'hôpital de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales (1764) ainsi que des musées dont le musée naval d'Afrique du Sud.
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